Le franc, franchement… (Chapitre 3 et grand concours final)

29 de April de 2019

Chose promise, chose due. À la fin du chapitre 2 de cette petite histoire des billets français au XXe siècle, nous nous étions quittés sur ce portrait de Blaise Pascal en état de putréfaction avancée, mais je vous annonçais de nouvelles horreurs presque pires. Vous êtes prêts? On y va!

1972-1980: Scoop exclusif: La célèbre restauratrice de l’Ecce homo de Borja, Cecilia Giménez, a commencé sa carrière comme dessinatrice à la Banque de France! Ces billets à l’effigie d’Hector Berlioz, Claude Debussy et Quentin de la Tour le démontrent clairement.   

1981: Ouf! On respire un bon coup avec ce beau Montesquieu bien classique. Hélas, ça ne va pas durer…

1992-1997: Est-ce parce qu’il sait que sa fin est proche? Le franc panique et il en fait voir de toutes les couleurs à Saint- Exupéry, Marie et Pierre Curie, Gustave Eiffel et Paul Cézanne. Observez au passage qu’une femme célèbre bien élevée ne va  jamais sur un billet sans son mari.

2019: L’auteure de ce post découvre avec horreur et stupéfaction que, hormis Madame Curie (et pas toute seule), les seules femmes à figurer sur les billets émis par la Banque de France depuis sa création en 1800 sont des déesses mythologiques (Cérès, Déméter, Minerve…) ou des allégories (de la Paix, la Victoire…). N’écoutant que son indignation, elle décide d’inviter ses lecteurs à proposer leurs candidates. Alors, quelle(s) femme(s) française(s) choisiriez-vous pour illustrer un billet et pourquoi? J’attends vos réponses avec impatience!

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